[Liminaire] Labé Louise,
A M.C.D.B.L,
« Estant le tems venu, Madamoiselle, que les severes loix des hommes n’empeschent plus les femmes de s’apliquer aus sciences et disciplines... », p. 3-7
[Œuvre principale] Labé Louise,
Euvres,
« [Incipit non renseigné] »
[Liminaire] Auteur anonyme,
Aus poëtes de Louïze Labé. Sonnet,
« Vous qui le los de Louïze escrivez », p. 124 [Liminaire aux Escriz de divers Poëtes]
[Post-Liminaire] Auteur anonyme,
Εἰς ᾠδὰς Λοίσης Λαβάιας,
« Τὰς Σαπφοῦς ᾠδὰς γλυκυφώνου ἃς ἀπόλεσσεν », p. 125
[Post-Liminaire] Fumée Antoine II (seigneur de Blandé),
De Aloysæ Labææ Osculis,
« Jam non canoras Pegasidas tuis », p. 125-126
[Post-Liminaire] Scève Maurice,
En grace du Dialogue d’Amour, et de Folie, Euvre de Dame Louïze Labé Lionnoize,
« Amour est donq pure inclinacion », p. 126-127
[Post-Liminaire] Tyard Pontus de,
En contemplacion de D. Louïze Labé,
« Quel Dieu grava cette magesté douce », p. 127
[Post-Liminaire] Auteur anonyme,
A Dame Louïze Labé, sur son portrait,
« Jadis un Grec sus une froide image », p. 128
[Post-Liminaire] Taillemont Claude de,
Sonnet,
« Je laisse apart Meduse, et sa beauté », p. 128
[Post-Liminaire] Taillemont Claude de,
A celle qui n’est seulement à soy belle,
« Si le soleil ne peut tousjours reluire », p. 129
[Post-Liminaire] Taillemont Claude de,
Autre à elle mesme,
« Voyez, Amans, voyez si la pitié », p. 129
[Post-Liminaire] [D'immortel zele],
A Dame Louïze, des Muses ou premiere ou diziéme couronnante la troupe,
« Nature ayant en ses Idees pris », p. 130
[Post-Liminaire] Auteur anonyme,
Sonetto,
« Qui dove in braccio al Rodano si vede », p. 130-131
[Post-Liminaire] Benucci Lattanzio,
Sonetto,
« Ardo d’un dolce fuoco, e quest’ ardore », p. 131
[Post-Liminaire] Auteur anonyme,
[Sans titre],
« Avventurosi fiori / Che così dolce seno », p. 131-132
[Post-Liminaire] Auteur anonyme,
Estreines, à Dame Louïze Labé,
« Louïze est tant gracieuse et tant belle », p. 133
[Post-Liminaire] Auteur anonyme,
A D. L. L.,
« Ton lut hersoir encor se resentoit », p. 133
[Post-Liminaire] Baïf Jean-Antoine de,
Epitre à ses amis, des gracieusetez de D. L. L.,
« Que faites vous, mes compagnons », p. 133-137
[Post-Liminaire] Magny Olivier de,
Des beautez de D. L. L.,
« Où print l’enfant Amour le fin or qui dora », p. 137-138
[Post-Liminaire] Baïf Jean-Antoine de,
A elle mesme,
« O ma belle rebelle / Las que tu m’es cruelle! », p. 138-139
[Post-Liminaire] Auteur anonyme,
Double Rondeau, à elle,
« Estant navré d’un dard secrettement », p. 140
[Post-Liminaire] Magny Olivier de,
Ode en faveur de D. Louïze Labé, à son bon Signeur. D.M.,
« Muses filles de Jupiter », p. 141-147
[Post-Liminaire] Nuvoloni Giulio,
Madrigale,
« Arse cosi per voi, Donna, il mio core », p. 147-148
[Post-Liminaire] Auteur anonyme,
Ode,
« Toute bonté abondante », p. 148-150
[Post-Liminaire] Fumée Antoine II (seigneur de Blandé),
Sonnet à D. L. L. par A. F. R.,
« Si de ceus qui ne t’ont connue, qu’en lisant », p. 150
[Post-Liminaire] Auteur anonyme,
A Dame Louïze Labé, Lionnoize, la comparant aus Cieus,
« Sept feus on voit au Ciel, lesquels ainsi », p. 150-151
[Post-Liminaire] Auteur anonyme,
Des louenges de Dame Louïze Labé, Lionnoize,
« Il ne faut point que j’apelle », p. 151-173